C’était le fantasme de Matthieu… Il en parlait depuis des semaines à Flavie qui avait fini par céder, curieuse de voir comment les choses allaient se passer.
Après s’être bien renseignés sur les lieux où ils pourraient mener leur petite expédition sans risque, ils choisirent un endroit assez réputé, à l’entrée d’une forêt, assez éloigné de leur domicile à Suresnes pour être certains de ne pas y croiser voisin, ami ou collègue.
Flavie s’habilla comme elle l’aimait : chatte bien épilée, lingerie sexy avec string et bas noirs. Elle enfila son long manteau noir en laine par-dessus et suivit Matthieu dans la voiture.
Ils roulèrent pendant près d’une heure en discutant de ce qui les attendait. Le scénario dont fantasmait Matthieu était assez simple : ils se garaient, commençaient à se caresser dans la voiture, des hommes s’approchaient et se branlaient en matant Flavie, puis, un ou deux élus la prendraient debout ou sur le capot de la voiture.
La nuit était presque tombée quand ils arrivèrent sur place. Quelques voitures étaient déjà garées et on entendait déjà des cris et des soupirs de plaisirs. Ils étaient au bon endroit.
Flavie et Matthieu défirent leurs ceintures de sécurité, reculèrent leurs sièges et verrouillèrent les portes de la voiture. Ils voulaient conserver un semblant de contrôle sur ce qui allait se passer ensuite et étaient rassurés par le fait d’être ainsi enfermés… pour le moment.
Flavie enleva son manteau en se mettant à genoux sur son siège, libéra le sexe de Matthieu et commença à le sucer. La situation les excitaient terriblement. Ils ne tardèrent pas à voir des ombres s’approcher de leur voiture et durent étouffer quelques rires nerveux. Au bout de quelques minutes, Flavie releva son cul pour l’offrir à la vue des mateurs. Elle savait que sa chatte ruisselante offrait un spectacle provocant pour ces messieurs. Elle n’était pas le moins du monde cachée par le minuscule morceau de tissu qu’était son string. Matthieu fini par ouvrir la fenêtre côté passager. L’un des hommes tendit aussitôt ses mains pour s’emparer du cul de Flavie. Elle ne pouvait pas le voir mais elle sentait ses grandes mains, chaudes et un peu rugueuses qui caressaient son cul, remontaient sur ses hanches, effleuraient sa chatte à travers le tissu en redescendant sur ses cuisses. L’homme la caressa ainsi de longues minutes pendant qu’elle suçait Matthieu avidement.
Elle sentait sa chatte dégouliner et s’impatientait du moment où l’homme oserait y mettre franchement ses doigts. Elle cambrait son cul, appelant des caresses plus intenses. L’homme ne se fit pas prier, après avoir fait glisser le string, commença à lui masser le clito tout en lui enfonçant le pouce dans la chatte. Flavie se mit rapidement à gémir de plaisir. L’homme la caressa longuement ainsi, jusqu’à offrir à Flavie un bel orgasme qui la fit crier et se convulser.
Quand elle reprit son souffle elle appuya sur le bouton de déverrouillage de la porte et invita l’homme à venir la baiser. Il ouvrit la portière et elle entrevit dans l’ombre sa queue raide et droite. Elle était de belle taille et ne put résister au plaisir de l’empoigner et de la branler. Elle se retourna et commença à donner des coups de langues sur le gland gonflé par le désir. Mais la caresse légère ne devait pas être forte pour l’homme très excité qui, lui maintenant la tête, enfonça son membre dans sa bouche et commença à faire des allers-retours, fermement mais sans agressivité. Se sentant tout à fait libre de l’interrompre, Flavie choisit au contraire de le laisser faire et de le branler en même temps puisque sa queue était de toute évidence bien trop grosse pour entrer entière dans sa bouche.
Pendant ce temps, Matthieu, de ses doigts habiles, maintenait un climat humide et chaud au bas de son ventre.
L’homme lui baisa la bouche ainsi pendant de longues minutes, puis la prévient qu’il allait jouir. Elle se recula et le branla fermement, jusqu’à ce qu’il éjacule de puissants jets de sperme en grognant. Sa semence luisante s’était rependue dans son cou et coulait en direction de ses seins. L’homme resta un moment à contempler Flavie en se masturbant pendant qu’elle se caressait avec son sperme. Après quelques minutes il se rajusta puis se pencha vers elle et l’embrassa gentiment sur la joue avant de leur glisser à tous les deux un « Merci pour ce moment », puis il s’éloigna.
Flavie et Matthieu n’eurent pas vraiment le temps d’échanger sur ce qui venait de se passer. Un second homme, qui se tenait là depuis le début et qui avait assisté à toute la scène sans intervenir, s’approcha et annonça qu’il souhaitait baiser Flavie. Matthieu savait que Flavie ne demandait que ça, mais il s’assura d’un regard qu’elle était d’accord, avant de tendre une capote, signe de leur consentement, au nouveau prétendant de sa chérie. Ils sortirent de la voiture et Flavie se pencha en avant sur le capot, comme ils l’avaient imaginé et décrit durant le trajet. Tout en la tenant fermement par les hanches, l’homme s’introduit d’un seul coup dans la chatte trempée de Flavie qui poussa un profond soupir de satisfaction. Il commença ses va-et-vient, d’abord tranquilles, puis, encouragé par les mouvements de bassin de Flavie, de plus en plus rapides et profonds. Matthieu, lui, se positionna face à sa belle qui s’appliqua à le sucer, autant que cela lui était possible, secouée comme elle l’était par l’homme qui était en train de la démonté derrière elle. Tout cela l’excitait fortement et elle sentait sa chatte qui dégoulinait. L’homme finit par jouir à son tour en donnant de puissants coups de rein. Il se rhabilla et les laissa. La soirée était bien avancée et il ne restait plus personne. Flavie et Matthieu se rajustèrent à leur tour et mirent la voiture en marche.
Cette soirée les avait énormément excités tous les deux et Matthieu voulait à son tour profiter de la chatte de sa belle. Il s’arrêta donc au bout de quelques kilomètres et gara la voiture sur un parking vide et peu éclairé. Après s’être installés sur la banquette arrière, il constata que l’intérieur des cuisses de Flavie était glissant comme une savonnette. Il enduisit sa queue de ce lubrifiant naturel par quelques va-et-vient qui la firent gémir puis, présentant son membre devant l’entrée étroite de son cul. Il s’y enfonça d’un seul coup, arrachant un cri à Flavie. Dans les faits, ils n’étaient pas adeptes de ce genre de sodomie brutale, mais l’idée, en revanche, les excitait beaucoup tous les deux et Matthieu trouvait que la soirée était particulièrement appropriée à cette pratique. Flavie semblait partager son avis car il la sentit vite se détendre autour de sa queue, elle qui y était encore opposé il y a quelque semaines. Elle ne regrettait pas d’avoir offert son cul à Matthieu pour son anniversaire. Et aujourd’hui Matthieu connaissait parfaitement les goûts de sa princesse en matière de sodomie, Il commença à la pilonner sans ménagement, lui arrachant de grands cris de plaisir. Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, Flavie tendit la main vers son clitoris et n’eut presque qu’à l’effleurer pour provoquer enfin un de ces orgasmes monstrueux que seule la queue de Matthieu dans son cul savait faire naitre. Matthieu jouit au même moment et s’effondra sur elle alors qu’il l’empalait encore.
Ils reprirent la route près d’une heure plus tard après avoir renouvelés les scènes de sexe sur le capot et à l’arrière de la voiture. Un jeune homme les avait regardés au loin mais à leur grande déception n’avait pas osé s’approcher. Flavie lui avait bien fait signe en l’invitant à les rejoindre à plusieurs reprises, alors qu’elle succombait sous les assauts du sexe de Matthieu.
Flavie se lova contre Matthieu qui conduisait, et dont le fantasme venait de leur offrir une soirée dont ils se souviendraient longtemps.
Fin..