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Un rêve s’efface doucement de ton esprit. Tu ne t’en souviens pas clairement mais tu as dû en profiter car ta chatte est encore trempée et tes mamelons sont durs.

Tu es dans le noir, tu peux sentir les battements de ton cœur, ta respiration est encore saccadée et bruyante, ce qui fait grandir ton excitation..

Tu serres tes cuisses et commences à les frotter l’une contre l’autre. Tu es encore plus mouillé que tu ne le pensais. Tes draps sont trempés et collent à ta chatte, mais la chaleur de ton excitation te dévore.

Tes envies amènent tes seins entre tes mains, te pousse à jouer avec tes tétons gonflés de désirs. Tes doigts te démangent, tu en veux plus. Toujours haletante, tu pinces les pointes sensibles de tes seins entre tes doigts, un faible gémissement s’échappe de tes lèvres. Tu n’as jamais été aussi excité, jamais. Tu sens que tu es à fleur de peau. Chaque contact, chaque sensation est écrasante et tu es perdu dans une mer de désir obscène.

Tu glisses une main entre tes cuisses, ta chatte est gonflée d’envie, chaude et humide.

Dans une partie lointaine de ton esprit, mon visage s’impose à toi. Comme souvent des envies totalement contradictoires s’affrontent. Tu ne sais si tu veux me gifler ou sentir mon corps contre le tien, sentir mon sexe en toi..

Un mouvement rapide entre tes cuisses fait se contracter tout ton corps. Tu essaies de rassembler tes pensées pour comprendre ce qui vient de se passer. Difficilement tu finis par ouvrir les yeux.

Dans la pénombre, assis à côté de toi, tu distingues ce visage qui hante tes envies depuis si longtemps. Tu peines à croire que ce soit réel, sans doute n’est ce qu’un rêve de plus…

Ton regard croise le mien. Tu ne sais ce que j’y perçois, mes pupilles se dilatent alors que je passe ma langue sur mes lèvres.

Tu veux sentir cette langue dans ta bouche, et dans… d’autres endroits.

Tu prends soudain conscience de ma main entre tes cuisses qui caresse distraitement ta chatte. Je souris et fait glisser mes doigts le long de ta fente humide, puis je commence à jouer autour de ton clito en faisant de légers cercles qui te provoque des frissons de plaisirs. Tes jambes se contractent comme pour essayer de retenir tes gémissements.

Je me rapproche de toi avant que tu n’aie eu le temps de briser le silence, je suis si proche que tu peux sentir la chaleur de mon souffle dans ton cou.

Tes yeux se ferment, tes pensées se mélangent. Tu essayes de calmer ta respiration, mais ta poitrine se soulève au rythme de ton désir.. Tu sens les draps bouger, une présence s’installer entre tes jambes. C’est trop réel pour être un rêve.

Tes yeux sont toujours fermés mais tu sens mon souffle se rapprocher de ta chatte. Je prends mon temps pour approcher mes lèvres, les battements de ton cœur commencent à s’emballer… Ma langue effleure ton clito, mais si légèrement qu’au début tu te demandes si ton imagination ne te joue pas des tours. Tu retiens ton souffle, impatiente, et soudain tu sens mes mains glisser sous tes cuisses pour se saisir de ta taille. Je plaque avec force ta chatte contre ma bouche et la lèche avec avidité. Tu n’oses pas bouger de peur que cela s’arrête, et je recommence, encore, et encore, et encore.. je fouille ta chatte sans ménagement avec ma langue, j’aspire tes lèvres et joue avec ton clito sans te laisser le moindre répit. Ta mouille inonde ma bouche, mes mains affermissent leur emprise autour de ta taille.

Tu ne parviens plus à te retenir et tes cuisses se resserrent autour de mon visage, mais un large coup de langue te surprend et ton dos se cambre pour l’accueillir. J’arrête aussitôt. Ton visage se tord de frustration, et le froid qui remplace le contact de ma bouche sur ta chatte devient une véritable torture.

Tu sens mon corps couvrir le tien, mes lèvres remonter vers tes seins en prenant soin de gouter chaque centimètre de ton corps. Je prends le temps de taquiner avec ma langue tes tétons avant de reprendre ma progression. Je m’arrête dans ton cou et mes baisers attisent ton désir, tu en oublies ta frustration, submergé par toutes ces sensations qui inondent tes sens.

Tu te sens connecté à moi, et quand mon sexe pénètre en toi, plus rien d’autre ne compte.

Tu ouvres les yeux pour t’assurer que ce n’est pas un rêve et croise les miens, assurés et calmes, la lumière de la lune dessinant mon visage dans un étrange halo fantomatique. Je souris et t’embrasse tout en te pénétrant lentement, régulièrement, patiemment.

Tes mains glissent dans mes cheveux, tes bras entourent mon cou avant de descendre dans mon dos. Tu sens mes muscles se raidirent sous ma peau au rythme de notre étreinte.

Sans cesser mes vas-et-viens je me redresse légèrement, saisie d’une main tes seins avant de m’en détourner pour caresser tes clavicules. Je remonte doucement et passe mon pouce le long de chaque arête de ton cou, puis mes doigts se glissent doucement sous ton menton. Tu sais ce que je veux, tu presses ton cou au creux de ma main et tu peux sentir à quel point tu m’excites.

Mes mouvements deviennent de plus en plus frénétiques. Je ne te fais plus l’amour, je te baise durement, mon corps claque avec force contre tes cuisses et ta chatte se serre autour de mon sexe. Ma respiration devient plus intense à mesure que j’accélère mes coups de reins, ta respiration ne tarde pas à s’accorder à la mienne.

Une étrange chaleur t’envahit. Tu voudrais faire durer ce sentiment mais tu perds le contrôle. C’est au-delà de la conscience. Un orgasme secoue tout ton corps et alors que tu te tords de plaisir et halète pour respirer je ne résiste pas à l’envie de te prendre encore plus profondément.

Tes cris continuent de raisonner au rythme de mes assauts, jusqu’au moment où je desserre ma main de ton cou, faisant glisser mes doigts le long de ton flanc pour m’arrêter sur tes fesses. Je te retourne sur le ventre et tire brutalement tes hanches vers le haut.

Tu frissonnes, un halètement se bloque dans ta gorge lorsque tu sens mon sexe dur frapper sur tes fesses. Tu ne tardes pas à esquisser un petit rire lorsque tu comprends que je m’en sers comme d’une matraque pour te frapper. Mais une caresse suivie d’une puissante claque enflamme ton cul et te rappelle à l’ordre.

Aussitôt tu te cambres, et me présentes ton cul. Ta chatte mouille tellement que l’entrée de ton petit troue est déjà lubrifié. Je ne résiste pas à cette vision. Lentement, atrocement lentement, tu me sens glisser en toi. Tu relèves légèrement tes hanches pour guider mon sexe, et avec un plaisir pervers je m’aperçois que je te remplis centimètre par centimètre sans rencontrer de résistance.

Je saisis tes hanches et rapidement nos corps s’accordent, s’entrechoquant à chaque fois que je m’enfonce en toi. Je savoure la pression exercée sur ma queue. Chaque poussée apportant une nouvelle sensation de chaleur et de désir alors que j’accélérais le rythme.

Sentir mon sexe étirer, remplir et marteler ton cul libère mes instincts primaires. Je ne me reconnais plus. Mon corps tremble de désir pour toi et je me mets à te baiser frénétiquement. Incapable de m’arrêter jusqu’au moment où je décide de me laisser aller.

Le monde semble disparaître. Mon corps se crispe, mes mains se resserrent sur tes hanches et je pousse un profond râle de plaisir. Tu sens mon sexe pulser en toi, à mon tour je jouis avec force et mes couilles se mettent à pomper des mois d’envies inassouvies en toi…

Je reste immobile, mon sexe dur figé en toi. D’une main je caresse la courbe de tes fesses, remonte vers le creux de tes reins, fait glisser tes cheveux entre mes doigts. Je suis comme hypnostisé par cette scène, par ce que tu dégages. Je n’ai qu’une envie, assouvir toutes ces envies que tu provoques en moi.

Mon esprit s’embrume, mes pensées se confondent. Peut-être n’est-ce qu’un rêve venue me torturer.. Peut-être me hantes-tu déjà..