Sélectionner une page

Flavie et Matthieu profitaient d’un après-midi ensoleillé au bord du lac. L’air était chaud, et le doux clapotis de l’eau se mêlait aux éclats de rire et aux conversations des autres visiteurs. Autour d’eux, la scène était animée par un mélange vibrant de couples, jeunes et moins jeunes, de groupes de copines en pleine discussion, d’hommes entre amis, il y avait aussi un couple avec deux grand adolescents, sans doute tout juste majeur, en pleine partie de badminton. Non loin, un groupe de quatre jeunes à peine plus âgé, probablement deux couples dans la vingtaine, jouait aux cartes en riant.

Matthieu, allongé sur sa serviette, bronzait avec une nonchalance apparente. Il caressait, d’une main faussement distraite, le cul de Flavie, orné d’un minuscule maillot de bain string au motif léopard. Il était juste assez visible pour faire acte de présence. Le tissu minimaliste mettait en valeur ses courbes et laissait peu de place à l’imagination. Plus d’un homme ne manquait pas de lancer un regard appuyé sur son cul en passant près d’eux.

Elle savait que ces regards insistant ne passaient pas inaperçu aux yeux de son homme. Chaque coup d’œil admiratif, chaque soupir d’envie qu’elle suscitait était une source d’excitation pour lui. Flavie ressentait une douce chaleur intérieure, consciente de l’effet qu’elle produisait. Elle savait que Matthieu aimait voir son corps attirer l’attention, que cela alimentait son plaisir pervers de la voir ainsi exposée, comme une proie séduisante.

La manière dont il effleurait son cul avec une décontraction feinte, tout en surveillant les réactions des hommes autour, accentuait le plaisir qu’elle ressentait. Elle savourait cette attention, se sentant à la fois désirable et soumise aux désirs de son homme. Sa posture, délibérément provocante, et le maillot de bain révélateur renforçaient encore plus ce sentiment. Elle était pleinement consciente de l’effet qu’elle produisait et s’abandonnait avec plaisir à ce jeu de pouvoir et de désir, parfaitement consciente que son rôle de petite chienne était pleinement apprécié.

Sentant une soif grandissante, elle proposa à Matthieu d’aller chercher des boissons à la paillote qu’elle avait repérée en arrivant. Il acquiesça d’un signe de tête et libéra son cul, après avoir pris soin de lui asséner une claque comme pour lui souhaite bonne chance. Elle déposa un baiser sur ses lèvres et se leva, ajustant au passage son maillot de bain pour le confort de la marche. Bien qu’elle adorait s’habiller de manière provocante, elle préférait le faire en la présence de son homme. Elle avait bronzé seins nus et décida de passer un paréo, mais celui-ci était coupé assez haut, tombant juste au milieu de ses fesses, ne cachant pour ainsi dire rien de des formes.

Matthieu la regarda s’éloigner, un sourire amusé aux lèvres. Le string, pratiquement inutile, donnait l’impression qu’elle marchait le cul à l’air. Sa démarche ondulante sous l’effet du paréo créait une scène terriblement excitante. Flavie ressentait un mélange complexe de plaisir et de nervosité. Consciente que son string révélait tout de ses fesses, elle sentait les regards des hommes se poser sur elle, ce qui la faisait rougir mais l’excitait tout autant. Se savoir scrutée par des inconnus contribuait à son excitation. Chaque regard qui se posait sur elle renforçait son sentiment de soumission à son homme, amplifiant son plaisir d’être ainsi exposée et désirée.

Flavie quitta la petite jetée de sable, ses hanches ondulant au rythme de ses pas alors qu’elle empruntait un petit chemin de sable bordé de buissons. Ce sentier menait à une petite zone arborée où l’entretien semblait secondaire. Les palmiers, les épais buissons et les herbes hautes formaient une sorte de jungle miniature, lui offrant une agréable vague de fraîcheur.

En arrivant à la paillote, elle commanda les boissons à une serveuse qu’elle trouva particulièrement attirante. Elle avait les cheveux bruns, la taille fine et une poitrine qui ne demandait qu’à s’évader d’un t-shirt moulant qui la comprimait, le tableau dégageait une aura délicieusement sensuelle. Flavie ne put s’empêcher de s’imaginer la partager avec son homme, il faudrait qu’elle lui en touche deux mots. Elles échangèrent quelques banalités, c’était une saisonnière arrivée la veille. Elle faisait des études en photos et s’était lancé récemment mais ne pouvait pas encore en vivre. Le courant passa bien entre elles, et Flavie apprécia le moment, trouvant la conversation rafraîchissante.

Boissons en main, elle repartit en direction de la plage. Arrivée à mi-parcours, alors qu’elle traversait la zone la plus sauvage, elle sentit son sac vibrer. Elle s’arrêta pour en sortir son téléphone, elle s’apprêta à décrocher en constatent qu’elle recevait un appel de Mélissa. Mais des bruits de pas et l’impression d’une présence approchant dans son dos la firent se retourner brusquement.

Elle n’eut pas le temps de réagir. Avant même qu’elle ne puisse comprendre ce qui se passait, un sac en tissu fut enfilé sur sa tête, la plongeant dans une obscurité totale. Immédiatement, des bras puissants l’entourèrent, la serrant avec une telle force qu’elle ne pouvait plus bouger. Elle tenta de se débattre, mais elle sentit des mains saisir ses chevilles et fut soulevée du sol, son corps totalement sous l’emprise de ses ravisseurs. Elle était trop faible et incapable de leur résister.

Elle essaya de crier, mais une main ferme plaqua le sac contre sa bouche, étouffant ses cris dans un murmure silencieux. La panique monta en elle alors qu’elle essayait de se débattre, craignant un instant de suffoquer lorsqu’elle remarqua que l’on serrait les lanières de cordes qui permettaient la fermeture du sac. Elle sentait la pressionqu’elles exercaient autour de son cou. Heureusement, le tissu léger du sac, bien que contraignant, ne bloquait que sa vue et lui permettait de respirer, même si la sensation était inconfortable à cause de la main qui l’empêchait toujours de crier.

Flavie comprit qu’on la déplaçait à travers les buissons, les branches écorchant doucement son paréo, qui se prenait dans les feuillages. Les mouvements imprévisibles et la sensation d’être emportée dans un lieu inconnu la plongeait dans un tourbillon d’émotions contradictoires, mêlant crainte et excitation.

Elle fut finalement jetée au sol, seins nus, son paréo ayant dû s’accrocher dans des branches. Elle sentit quelque chose de doux et moelleux sous elle et devina que c’était une serviette étendue sur l’herbe. La douceur du tissu contrastait avec la rudesse de la situation. Elle n’eut pas le temps de réfléchir davantage qu’elle sentit un inconnu se glisser entre ses jambes, attrapant son cou pour l’obliger à rester sur le dos. Les mains d’un autre homme attrapèrent ses poignets et les immobilisèrent sur le sol au-dessus de sa tête.

Elle essaya une fois de plus de s’échapper, mais l’homme sur elle était beaucoup plus fort. Il immobilisa sans la moindre difficulté, son corps puissant écrasant le sien. Flavie, impuissante, pouvait sentir la chaleur de sa peau contre la sienne. D’une main il commença à pétrir ses seins, explorant chaque courbes, chaque contours. Flavie ferma les yeux, essayant de lutter contre les sensations qui montaient en elle, mais c’était inutile. La fermeté de ses mains, la manière dont il serrait son cou et pétrissait ses seins, tout cela la faisait frissonner d’excitation.

Les mains de l’homme plongèrent sans retenue entre ses cuisses, écartant ses lèvres sans la moindre compassion. Ses doigts glissaient sur son clito, le pinçant et le malaxant jusqu’à ce qu’il soit dur et gonflé. Il les enfonça en elle avec une brutalité bestiale, ses doigts fouillant sa chatte déjà trempée, déclenchant des frissons incontrôlable de plaisir. Chaque mouvement était un acte de domination, comme s’il revendiquait son corps. Malgré la peur qui l’étreignait, elle ne pouvait ignorer l’excitation qui s’était emparé d’elle. Elle était prise au piège, incapable de bouger, totalement à la merci de cet inconnu.

Il écarte son string d’un geste sec et gifla sa chatte encore et encore, la faisant frémir sous chaque impact. « Regarde-toi, sale chienne, » dit-il d’une voix dure. « Tu mouilles déjà, prête à être violée et souillée. Tu es une vraie petite pute. » Il continua à lui donner des claques brutales, chacune résonnant avec une perversité qui la faisait se cambrer et hurler à travers le sac en tissu. Ses doigts s’enfoncèrent en elle de nouveau, fouillant plus profondément, tordant et étirant sa chatte avec une intensité qui la faisait suffoquer de plaisir.

« On va te baiser jusqu’à ce que tu ne puisses plus marcher, » grogna-t-il. « Tu vas sentir nos queues dans ta gorge, dans ton cul, on va te remplir de foutre, te réduire à l’état de pute. » Flavie sentait la terreur et l’excitation se diffuser en elle, son corps tremblant sous l’effet de cette brutalité animale. Elle aimait cette sensation de contrôle, être réduite à l’état de chienne soumise, utilisée de la manière la plus crue et dégradante possible. Sa chatte palpitait sous la douleur et le plaisir, son corps entier se cambrant en réponse aux caresses incessantes.

Soudain quelque chose se déverrouilla dans son esprit. Son cœur s’emballa alors qu’elle reconnaissait la voix de l’homme, c’était son homme, Matthieu. Le choc de cette révélation, mêlé à la brutalité de l’instant, intensifia son excitation. Elle prenait conscience qu’il devait avoir orchestré ce viol pour la pousser à dépasser ses limites. Elle se sentait à la fois effrayée et complètement enivrée à l’idée d’être soumise à une telle sauvagerie par l’homme qu’elle aimait. Cette pensée la rendait plus humide, plus impatiente, plus soumise que jamais. Elle n’attendait que d’être utilisée et marquée de la manière la plus dégradante qui soit.

Elle sentit la pénétration de Matthieu comme un coup de tonnerre, une intrusion brutale et profonde qui la fit hurler sous le sac, le souffle coupé par la surprise et le plaisir. Il la pénétrait avec une rage bestiale, chaque poussée était une revendication qui secouait tout son corps. Son sexe s’enfonçait profondément, la forçant à sentir chaque centimètre de sa queue contre les parois de sa chatte. Il la prenait sans retenue, la baisant avec une hargne qui la faisait gémir de plaisir.

Des mains inconnues parcouraient son corps. Elles étaient partout, explorant chaque recoin avec une faim dévorante. Elles malaxaient ses seins avec avidité, les pétrissant jusqu’à ce que la douleur et le plaisir se confondent. Ses tétons étaient tordus, étirés, et ses seins compressés avec une violence qui ne faisait que décupler son plaisir.

La main de Matthieu se resserra autour de son cou, l’étranglant avec une force qui la fit suffoquer presque immédiatement. Chaque pression sur sa gorge la coupait un peu plus de son souffle, son corps réagissant instinctivement en cherchant de l’air. Une multitude de sensations la parcourait. Elle devinait que des hommes se branlaient contre elle, des sexes dur se frottant sur sa peau, prêts à la prendre à tout moment.

Elle se débattit légèrement, mais Matthieu relâcha sa prise juste à temps, lui permettant de prendre une bouffée d’air avant de resserrer de nouveau son étreinte. Ce jeu de suffocation contrôlée provoquait en elle une excitation brutale, une sorte de plaisir pervers qui se mélangeait à la peur et au désir.

Alors qu’elle luttait pour respirer, les mains de son homme continuaient ce cycle oppressant et libérateur autour de son cou. Dans le même temps, il ne cessait de la pilonner durement, s’enfonçant à chaque coup de reins jusqu’aux couilles. Elle prit conscience que des mains puissantes maintenaient ses chevilles, l’obligeant à écarter largement les cuisses, rendant chaque pénétration encore plus intense et impitoyable.

Matthieu relâcha une fois de plus son cou, la laissant reprendre son souffle, avant de resserrer de nouveau sa prise. À chaque fois qu’il la laissait respirer, elle sentait un besoin désespéré d’air se mêler à une montée de plaisir addictif. Son esprit se brouillait sous cette pression, chaque souffle court accentuant son sentiment de vulnérabilité et d’excitation.

La combinaison des sensations, l’étranglement, les mains malaxant ses seins, les sexes frottés contre sa peau, la pénétration brutale, le sac sur son visage, ses bras et ses jambes immobilisés, la plongeait dans un état de plaisir extrême. Elle était totalement à leur merci, utilisée sans retenue, et savoir que son homme avait organisé tout cela ne faisait qu’amplifier son excitation. 

Matthieu sortit lentement, savourant le moment où il se dégagea de sa chatte dégoulinante de mouille. Flavie sentit le vide laissé par son membre, une absence qui exacerbait son désir de sentir une queue la remplir. Ses bras et ses jambes étaient toujours écartés, bloqués par les mains d’autres hommes qui la maintenaient dans cette position, empêchant tout mouvement.

Elle haletait, le souffle court alors qu’elle essayait de retrouver ses esprits. Ses seins étaient encore douloureux des attouchements brutaux, ses tétons érigés, sensibles au moindre contact. Elle avait le cou marqué par la poigne de fer de son homme, une chaleur diffuse irradiait de sa gorge là où il l’avait serrée.

Le moment de répit fut bref. Elle entendit des bruits de vêtements froissés, des respirations lourdes, et elle comprit que Matthieu s’était retiré pour laisser la place à un autre. Elle n’avait pas besoin de voir pour savoir ce qui allait se passer. L’excitation la submergea de nouveau, elle anticipait déjà la sensation d’une nouvelle queue prête à limer durement sa petite chatte.

Un homme se positionna entre ses jambes. Elle sentit la chaleur de son sexe contre ses cuisses, puis la pression familière d’une bite s’introduisant en elle. D’abord lentement, comme pour la torturer par l’attente, avant de s’enfoncer d’un coup sec, profond et brutal. Elle gémit, le corps tendu par ce nouvel assaut. Des mains inconnues continuaient de la caresser, ses seins étaient pétris avec une violence qui la faisait grimacer de plaisir. Elle sentait le corps de l’homme cogner entre ses cuisses, alors qu’il la pilonnait avec férocité, chaque coup de reins s’enfonçant plus durement en elle.

Les murmures autour d’elle étaient masculins, ponctués de rires graves. Elle devina qu’ils se branlaient, attendant leur tour pour la violer à leur manière. Chaque va-et-vient du sexe de l’homme en elle la rapprochait un peu plus du point de non-retour, ses gémissements se transformant en cris étouffés de plaisir. Elle était complètement à leur merci, elle allait être utilisée sans pitié, et cette pensée l’excitait plus que tout.

Dans cet état d’extase et de soumission, elle ne pouvait s’empêcher d’imaginer Matthieu observant la scène. Son cœur battait plus fort en pensant à son homme, tirant les ficelles de ce scénario pervers. Elle le visualisait avec un sourire carnassier, un prédateur jouant avec sa proie, son regard impitoyable suivant chaque mouvement, chaque gémissement. Elle savait qu’il était l’architecte de cette domination, orchestrant chaque moment de plaisir et de douleur avec une précision froide et calculée.

L’homme qui la baisait laissa échapper un râle de plaisir bestial en se retirant, marquant la fin de son tour. Il dégagea lentement son sexe encore raide et dégoulinant de sa chatte, laissant la place à un autre. Aussitôt, elle sentie le suivant se positionner entre ses cuisses, frappant son sexe dur et affamé contre sa chatte. La chaleur de son gland se faisait sentir contre ses lèvres, et il n’attendit pas pour commencer à la baiser. L’intensité de cette nouvelle intrusion était tout aussi brutale que la précédente, une vague de plaisir la submergeant immédiatement alors qu’il s’enfonçait en elle. La chaleur de son sexe se mêla à celle laissée par le précédent, une combinaison explosive qui fit trembler Flavie de plaisir.

Le relais avait commencé. L’homme la baisait avec une agressivité palpable, ses coups de reins profonds et durs, enfonçant son sexe au plus fond de sa chatte. Les autres hommes l’entouraient, mais la plupart des mains qui exploraient ses courbes avaient été remplacées par des queues dures et affamées qu’on branlait contre sa peau. Une dernière main malaxait et pétrissait toujours ses seins avec brutalité, les doigts s’attardant sur ses tétons durcis.

À peine avait-elle eu le temps de savourer la pleine mesure de cette queue en elle qu’une autre prit sa place. Le relais battait son plein, et les hommes se succédaient sans interruption. Les pénétrations étaient incessantes, les va-et-vient s’enchaînant avec une violence qui ne connaissait aucun répit. Le rythme était effréné, chaque homme ne perdant pas de temps pour la prendre, la faire crier, la traiter comme une salope affamée. Sa chatte était une ouverture continuellement comblée, chaque nouvelle queue venant la remplir encore plus profondément, la conduisant à des orgasmes brutaux et incontrôlables.

Lorsque Matthieu prenait la place de l’un des hommes, elle le reconnaissait immédiatement à la pression de sa main autour de son cou. Cette pression ferme et dure, suffocante par moments, combinée à la force brute de sa pénétration, la faisait se tordre de plaisir. Il la défonçait avec une férocité qui ne laissait aucun doute possible sur son identité.

Elle savait que son homme avait tout planifié pour la voir ainsi, totalement utilisée, soumise à une brutalité qu’elle désirait. Son cœur battait si fort dans sa poitrine, chaque gémissement, chaque cri de plaisir était pour lui, pour prouver qu’elle lui appartenait entièrement. Elle savait qu’il était celui qui dirigeait ce groupe, celui qui avait organisé cette humiliation. Elle était folle amoureuse de lui, et chaque instant de cette expérience confirmaient qu’elle était une chienne qui aimait être utilisée. 

Sa chatte affamé se refermait autour de chaque queue qui pénétrait en elle, et elle se perdait dans cette sensation de pouvoir et de contrôle qu’il lui avait offert, même à travers la brutalité des hommes qui se succédaient. Chaque va-et-vient était une affirmation de son dévouement, de son désir ardent de le rendre fier. Elle embrassait pleinement sa nature de salope, son corps étant un instrument pour satisfaire les désirs de son maître, et chaque coup de reins, chaque pénétration, ne faisait qu’accroître son amour et sa soumission.

Flavie fut brusquement arrachée à ses pensées quand son corps fut violemment retourné pour la mettre sur le ventre. Avant même qu’elle ait le temps de réagir, des mains agrippèrent ses fesses, l’obligeant à les relever, comme pour la mettre à quatre pattes. Sa tête fut cependant plaquée de force contre le sol, immobilisée par des mains puissantes qui écrasaient son visage sur la serviette. La crainte et le désir se mélangeait dans son esprit alors qu’elle était bloquée dans cette position, offerte et vulnérable.

Une présence se glissa derrière elle, et aussitôt des mains fermes commencèrent à lui asséner des claques sévères sur le cul avec une brutalité inouïe. Les coups s’abattaient avec une telle force qu’ils faisaient trembler tout son corps, provoquant des vagues de douleur brûlante. Ses fesses étaient violemment exposées, chaque claque les marquant impitoyablement, comme des coups de fouet.

Flavie avait la chatte gonflée et dégoulinante après toutes les queues qu’elle avait dû encaisser pendant ce relais obscène. Mais elle devinait que celui qui s’acharnait sur son cul n’était autre que son homme. L’idée d’être traitée de cette manière devant tous ces inconnus qui venaient de la baiser ne faisait que décupler son besoin d’être soumise et utilisée encore plus salement.

Elle sentit ses doigts se glisser entre ses fesses, avant de s’enfoncer dans son cul. Il s’attelaient à dilater son anus, le préparant pour une pénétration brutale. Son cul était travaillé et écarté pour offrir une ouverture maximale. Les doigts étaient suivis par quantités de salive, elle savait que son homme prenait un plaisir sadique à lubrifier abondamment pour en faciliter l’entrée.

Implacable et calculateur, il cracha une dernière fois sur son cul, pour le lubrifier encore davantage. Il était déjà largement ouvert et elle pouvait sentir le liquide s’immiscer en elle. Des mains empoignérent ses hanches, les serrant avec une force délicieusement autoritaire et possessive. L’instant d’après Flavie sentit le bout de sa queue appuyer contre son cul, testant sa résistance. Elle savait que que Matthieu allait y aller sans ménagement, mais c’est ce qu’elle désirait au fond d’elle.

Il enfonça doucement son gland, puis d’une poussée brutale la pénétra entièrement jusqu’aux couilles. La sensation était déchirante, chaque centimètre de sa queue coulissant profondément dans son cul. Une vague de douleur et le plaisir lui arracha un crie alors qu’elle le sentait en elle, élargissant son cul.

Il commença à la pilonner comme une bête, son corps se cabrant sous la force de ses assauts. Le visage toujours plaqué contre la serviette, elle sentait son emprise se resserrer sur ses hanches l’obligeant à prendre l’entièreté de sa queue à chaque à coup.

Rapidement, elle fut submergée par une vague d’orgasmes incontrôlables. Les contractions de son anus contre ce sexe qui la ravageait étaient irrésistibles, chaque poussée déclenchant une nouvelle onde de plaisir dévastateur. Matthieu, implacable et dominant, continuait de la démonter avec une force brute, chaque mouvement accentuant la puissance de ses orgasmes. Elle sourit intérieurement en imaginant la scène, elle était immobilisée la tête écrasée au sol, un sac sur la tête et elle se faisait démonter le cul comme une chienne devant un groupe de mecs.

Matthieu ne relâchait pas son emprise, ses mains accentuant leur pression sur ses hanches pour s’assurer de l’empaler de tout son long. Chaque poussée était un acte de domination, chaque seconde une confirmation de son pouvoir sur elle. Flavie, était dans un état second, se sentait complètement à lui, son cœur battant à toute allure pour cet homme qui la traitait comme la chienne qu’elle avait toujours voulu être.

Il ne se retenait pas, la sodomisant sans lui laisser le moindre répit. Elle était submergée par des vagues d’orgasmes brutaux, qui la laissaient haletante. Elle était complètement à la merci de son homme, son corps utilisé comme un vulgaire réceptacle, soumis à chaque poussée impitoyable. 

Matthieu, dans un ultime râle de satisfaction, se délecta des dernières contractions du cul de sa belle avant de se retirer brutalement. Sa queue, était encore dure et affamée de cette femme qui l’obsédait, son corps encore secoué par les vagues d’orgasmes qu’il avait provoquées en elle. 

Sans perdre de temps, un autre homme se positionna derrière elle. Flavie, encore essoufflée et tremblante, sentit immédiatement la présence du nouveau venu. Ses fesses, toujours relevées et ouvertes, étaient prêtes à recevoir ce nouvel assaut. Elle pouvait sentir sa queue frotter contre son cul, prête à entrer. Il s’enfonça avec force, ses coups pénétrant son cul encore élargi par le passage de son homme. Les coups étaient moins durs mais rapides, faisant vibrer de plaisir son corps déjà chauffé à blanc.

Les gémissements de Flavie se mêlaient aux bruits de l’acte, il la baisé à un rythme effréné comme un lapin, chaque poussée accentuant l’état d’extase dans lequel son homme l’avait déjà plongé.

Elle imaginait son regard sur elle, une lueur de satisfaction féroce dans ses yeux. L’homme qui la pistonnait avait une queue imposante, et la pilonnait sans pitié, remplissant l’espace laissé libre et maintenant la soumission de Flavie à son paroxysme.

En quelques minutes, les hommes se succédèrent, chacun prenant son tour avec une brutalité comparable. Certains remplissant son cul avec une force implacable, tandis que d’autres préféraient défoncer sa petite chatte gonflée. L’un après l’autre, ils l’utilisaient avec une intensité renouvelée. Elle sentait des mains puissantes la maintenir en place, tandis que des queues pénétraient alternativement son cul ou sa chatte. Elle était prise à la chaîne et se laissait aller à cette expérience extrême, désireuse de satisfaire son homme et de vivre pleinement ce fantasme débridé. 

Les gémissements de Flavie se mêlaient au bruit obscène et régulier des pénétrations, ses cris de plaisir résonnant à mesure que les hommes se succédaient. Elle sentait ses fesses être écartées, son corps utilisé comme un vulgaire réceptacle à bites. Les hommes semblaient ne jamais se fatiguer, leur rythme incessant entraînant des séries d’orgasmes incontrôlables qui secouait son corps. Flavie ne pouvait voir leur visages, mais elle reconnut à plusieurs reprises la puissance des coups de reins de celui qu’elle aimait. Il l’avait poussée dans ses limites, et pourtant, un désir brûlant la poussait à en vouloir encore plus.

Flavie se sentait plus vivante que jamais, exaltée par la brutalité et la domination qu’elle vivait. Chaque instant de cette intense soumission renforcait son amour pour Matthieu. Savoir que son esprit pervers avait organisé ce viol collectif ne faisait qu’accroître son désir pour lui. Elle était heureuse de pouvoir être complètement elle-même, impatiente d’exprimer et de satisfaire ses fantasmes les plus pervers. Elle aimait profondément la manière dont son homme la contrôlait, la façon dont il l’utilisait pour son plaisir et le sien.

Elle se trouvait au sommet de sa nature de chienne insatiable, prête à être utilisée par son homme, à être baisée par ceux qu’il choisirait, à être utilisée comme la pute qu’elle se voyait être dans ces moments de domination extrême. Elle voulait encore sentir leurs sexes, encore plus de queues, elle voulait les sentir déverser leur foutre en elle, vider leurs couilles jusqu’à ce que chaque centimètre de son corps soit tapissé de foutre.

Sans préavis son visage fut libéré de son étau et le relais cessa dans ses orifices. Des mains puissantes l’obligèrent à se redresser, avant de se glisser sous ses aisselles et ses fesses, la soulevant du sol. Elle sentait qu’on la déplaçait de quelques pas et frissonna d’excitation lorsqu’elle compris qu’elle était maintenu dans un équilibre précaire au-dessus d’un sexe dressé. Elle pouvait sentir la queue bien raide parfaitement alignée avec son cul frotter contre l’entrée.

De nouvelles mains écartèrent ses cuisses pour lui permettre de placer ses jambes de chaque côté de l’homme qui se trouvait sous elle. Puis, avec une brutalité calculée, les mains la lâchèrent soudainement. Flavie sentit son cul s’empaler sans la moindre difficulté sur la queue dressée, la pénétration fut immédiate et profonde. Elle sentait chaque centimètre en elle, la remplissant complètement. Elle se trouvait maintenant assise en position de cowgirl inversée, les cuisses largement écartées, impatiente de découvrir quelles perversités son homme lui réservait.

Elle ajusta sa position, ses mains et ses pieds cherchant un appui stable sur le sol pour se soulever légèrement. Ce mouvement lui permi de créer l’espace nécessaire pour que l’homme allongé sous elle puisse s’activer avec plus de liberté. Il ne se fit pas prier, attrapa ses fesses à deux mains et commença aussitôt à lui défoncer le cul. La position facilitait une pénétration directe et brutale, amplifiant le plaisir qu’elle prenait lorsqu’il accéléra le rythme. Ses fesses se cambrant pour accueillir sa queue, tandis qu’elle arquait légèrement le dos en se penchant vers l’arrière.

Soudain, la voix de son homme résonna à son oreille. « Je vois que ma chienne est bien installée » Flavie sentait sa présence rassurante toute proche alors qu’elle percevait le contact précis de ses mains sur le sac qui couvrait sa tête. « Arrête de bouger » ordonne-t-il d’une voix ferme. Flavie, obéissante, cessa immédiatement, se concentrant sur le maintien de sa position. L’homme sous elle s’immobilisa également pour lui faciliter la tâche, après avoir prit soin de fourrer entièrement sa queue dans son cul.

Elle sentit les mains de son homme empoigner le tissu du sac au niveau de sa bouche, puis reconnue le bruit métallique d’un ciseau qui se ferme et compris qu’il venait de faire une ouverture. La coupe dans le sac était juste assez grande pour libérer sa bouche tout en la gardant plongé dans une quasi obscurité.

Son homme se pencha ensuite pour l’embrasser, ses lèvres touchant les siennes avec une tendresse surprenante au milieu de toute cette perversité. Elle senti sa main se resserrer de son cou alors que leurs langues se cherchaient, se caressaient et se dévoraient. Flavie était submergée par un torrent de sentiments, le contraste entre l’amour et la brutalité créant une intensité nouvelle.

L’homme sur lequel elle était empalée repris ses mouvements, la baisant méthodiquement alors que sa bouche était encore connectée à celle de son homme. Ce moment d’affection crue et de contact tendre se mêlaient aux sensations brutales de son corps, créant une expérience totalement irréelle. La douceur de ses lèvres, l’exploration de sa langue, la main serrant son cou ajoutaient une dimension supplémentaire à son plaisir, la faisant se sentir encore plus liée à lui. Flavie se laissa emporter par cette vague d’émotions, savourant chaque instant de ce baiser profond et intime.

Leurs lèvres se séparèrent finalement et elle essaya de voir à travers l’ouverture du sac, mais se rendit vite compte que c’était impossible. Le seul changement était la liberté accordée à sa bouche. Liberté qui serait de courte durée, elle le savait. Son homme enjambait déjà l’inconnu au sol pour se placer debout devant elle, ses jambes écartées, encadrant son corps vulnérable.

Flavie sentit immédiatement son sexe se presser contre ses lèvres entrouvertes. Matthieu attrapa sa tête à deux mains, tel un prédateur affamé et s’enfonça brutalement dans la bouche de sa belle. Sa queue glissant profondément au fond de sa gorge, ses mains faisant pression pour la forcer à la prendre entièrement jusqu’aux couilles. Il ne lui permit pas de se dégager et l’obligea à rester le visage empalé sur sa queue.

Dans le même temps, l’homme sous elle se déchaînait avec une sauvagerie bestiale. Ses coups semblaient marqués par une urgence croissante, ses mouvements imitant ceux d’un animal en rut cherchant désespérément à se décharger. Il semblait incapable de se contrôler. Ses couilles, ballottées par l’intensité de ses coups, étaient prêtes à exploser. Le rythme effréné de ses pénétrations révélait son désir pressant de gicler dans le cul qui lui était offert. 

Les gémissements de Flavie étaient presque inaudibles étouffés par le sexe de Matthieu dans sa bouche. Chacun de ses coups de reins était profond, ses hanches frappant violemment contre son visage. Sa bouche était constamment occupée, ses lèvres et sa langue contraintes de s’adapter aux va et vient de sa queue. Elle étouffait, ses yeux se remplissant de larmes alors qu’elle luttait pour respirer. Matthieu ne lui laissait aucun répit, baisant sa bouche comme un vulgaire vide couilles, ne se retirant que pour lui permettre de reprendre son souffle, ou lui asséner quelques coups de bite sur le visage.

Flavie submergée par cette étreinte brutale et sans merci, subissait les assauts de ces deux hommes. La queue de Matthieu, enfoncée profondément dans sa bouche, dominait toutes ses sensations, tandis que l’homme qu’elle chevauchait ne cessait de s’acharner sur son cul. Chaque mouvement, chaque pénétration, provoquaient des vagues de plaisirs qui la mettaient dans une transe quasi orgasmique.  

Elle pouvait sentir Matthieu lui cracher au visage pendant qu’il lui baisait la bouche, et le sac qui couvrait son visage ne faisait qu’accentuer son désir d’humiliation. Elle aurait préféré que rien ne la protège, qu’il puisse cracher directement sur sa gueule, sans la moindre barrière. Être traitée comme une pute, sentir cette salive dégouliner sur elle, c’était tout ce qu’elle désirait.

Matthieu intensifia une dernière fois ses mouvements, baisant rageusement sa bouche, avant de se retirer, la laissant complètement engourdie. Flavie resta figée, tentant de retrouver son souffle, pendant qu’elle continuait de se faire démonter le cul. Sa bouche entre-ouverte et dégoulinante de salive témoignant de l’acharnement qu’elle venait de subir. Matthieu, sans lui offrir le moindre répit, se mit à genoux entre ses cuisses. Elle sentit la chaleur de son corps contre le sien, ajustant sa position pour obtenir le plus de liberté de mouvement. Ses gestes contraignaient l’autre homme à ralentir le rythme le temps qu’il trouve le meilleur angle pour la pénétrer. Flavie sentit sa queue frotter contre les lèvres gonflées de sa chatte, ses cuisses s’écartant légèrement pour lui faciliter l’accès. Il posa une main sur ses hanches pour ajuster sa position, orienta sa queue et la pénétra sans attendre.

Matthieu, utilisant ses mains pour guider le mouvement, positionna Flavie de manière à ce qu’elle soit parfaitement placée pour se faire prendre en double. Ses fesses étaient surélevées et ses jambes écartées, ce qui permettait aux deux hommes de la baiser efficacement. 

Elle était prise dans un tourbillon de plaisir brut et ininterrompu. Matthieu, avec ses mains fermement ancrées sur ses hanches, la maintenait en place tout en la pénétrant profondément. Ses coups de reins étaient marqués par une précision brutale, sa domination évidente alors qu’il la prenait durement. L’homme en dessous, n’était pas en reste et se déchaînait, chaque coup furieux témoignant de son besoin imminent de se décharger.

Flavie tremblait de plaisir sous leurs coups, ses orifices se contractant et se dilatant en réponse aux mouvements brutaux de leurs queues. Son cul était pilonné sans relâche tandis que sa chatte était complètement envahie par le sexe de son homme. Ils se déchaînaient avec une brutalité sans égale, leurs membres frottant l’un contre l’autre, déformant ses parois internes. La dualité des sensations et la synchronisation des pénétrations secouait son corps, chaque impact intensifiant son plaisir jusqu’à la rendre presque hystérique. La salive et la sueur dégoulinaient de son corps alors qu’elle était dévastée par les mouvements brutaux et les coups répétitifs. Ses gémissements étaient étouffés par la sauvagerie de leur attaque, son esprit se perdant dans l’orgasme intense provoqué par cette brutalité.

Flavie sentit les mains de son homme se refermer autour de son cou, une étreinte puissante et oppressante qui accentuait son plaisir. L’asphyxie à la fois douloureuse et excitante, décuplait ses sensations, chaque pénétration devenant une décharge électrisante qui traversait son corps. Ses pensées étaient noyées sous une avalanche de sensations extrêmes, où la douleur et l’extase se mélangeaient. Elle se sentait complètement utilisée et totalement soumise aux pulsions débridées de son homme.

En dessous, l’inconnu était sur le point de craquer, ses mouvements devenant de plus en plus erratiques alors qu’il approchait de l’orgasme. L’intensité de ses coups de reins augmenta, et incapable de se retenir il perdit tout contrôle. Flavie sentit une chaleur brûlante envahir son cul alors que des jets de sperme se déversaient en elle. Matthieu, implacable, continuait de la baiser sans ménagement alors que son cul se faisait tapisser de foutre. Chaque décharge ajoutant une nouvelle couche de chaleur et d’intensité à son plaisir déjà écrasant. Elle sentait son cul se contracter autour de cette queue qui se déchargeait en elle, vibrant sous chaque jet de sperme. 

Il ne se retira pas immédiatement, prenant le temps de se vider les couilles jusqu’à la dernière goutte, sa queue s’enfonçant profondément dans son cul à chaque décharge.

Avant qu’elle ne puisse vraiment se remettre de cette épreuve, un autre homme se glissa  sous elle, prêt à prendre le relais. Elle sentait ses mains se poser sur son dos alors qu’il prenait position. Matthieu, toujours plus pervers, attrapa ses fesses à pleine mains pour les écarter, offrant ainsi au nouvel arrivant une entrée directe et profonde. L’homme pénétra sans attendre, sa queue s’enfonçant dans son cul encore inondé de foutre. 

Ses deux assaillant se synchronisèrent rapidement, accordant leur rythme pour la baiser frénétiquement. Flavie tremblait sous l’effet combiné de cette double pénétration. Chaque coup de reins semblait la déchirer un peu plus, mais elle adorait ça, adorait se sentir ainsi étirée, remplie, utilisée comme une poupée de chair. 

Sentant la tension monter, Matthieu redoubla d’ardeur, labourant sans la moindre compassion la chatte de sa belle. L’homme sur lequel elle était empalé, excité par cette position parfaite, accéléra à son tour, ses coups de reins devenant toujours plus puissants et désordonnés. 

Flavie était sur le point de perdre pied, son corps tout entier vibrant sous l’assaut de ces deux hommes qui s’acharnaient sur elle sans pitié. Chaque pénétration la poussait plus loin dans l’abîme du plaisir, un plaisir si intense qu’il en devenait presque insoutenable. Elle se sentait submergée par cette sensation, son corps réclamant toujours plus, incapable de se rassasier de cette brutalité.

Elle était devenue le réceptacle de leurs désirs les plus sombres. Et elle aimait ça, savourant chaque seconde de cette débauche, de cette violence qui lui rappelait sa place de chienne soumise aux pulsions de son homme.

Autour d’elles, les hommes semblaient former une véritable meute de chiens en rut. Leur désir était presque palpable, chaque soupirs, chaque murmures qu’ils échangeaient résonnaient comme une symphonie de désir animal. Flavie se trouvait au centre de cette scène bestiale, entourée par une troupe de mâles affamés qui semblaient prêts à se jeter sur leur proie pour la dévorer.

Matthieu et l’inconnu poursuivaient leurs mouvements frénétiques, leurs queues la défonçant en profondeur dans une furie animale. Elle sentit la présence chaude et dure d’un sexe contre son visage, le membre se frottant contre ses lèvres entrouvertes. Il força le passage, s’enfonçant dans sa bouche sans ménagement. La queue s’imposa dans le fond de sa gorge, et Flavie fut contrainte de sucer et d’astiquer le membre avec sa langue, la salive dégoulinant sur ses lèvres.

En même temps, Matthieu et son acolyte continuaient de la défoncer des deux côtés. Les coups de reins impitoyables faisaient trembler son corps, chaque mouvement intensifiant le plaisir brut qu’elle ressentait. Les trois hommes coordonnaient leurs efforts, formant un triple assaut qui laissait Flavie complètement submergée. Elle léchait et aspirait le sexe devant elle tant bien que mal, ses efforts pour satisfaire le nouvel arrivant étant sans cesse interrompues par les queues qui la ravageaient.

L’homme debout près d’elle, incapable de se retenir plus longtemps, laissa exploser sa jouissance. La chaleur de son éjaculation se déversa dans la bouche de Flavie, chaque jet chaud et épais se mélangeant à sa salive. 

Dans le même temps, celui toujours plongé dans don cul, ressentit la montée de son propre plaisir. Ses coups de reins devinrent plus sauvages et désespérés, et, avec un cri guttural, il explosa également. Sa semence se déversa avec force dans ses entrailles, chaque jet de foutre s’écrasant contre ses parois internes déjà souillées.

La combinaison des deux éjaculation décupla l’excitation de Flavie. Le sperme coula le long de son corps, se mélangeant à ses propre fluide. Sa peau était parsemée de gouttes blanches, tandis que son cul se remplissait d’un mélange chaud et visqueux. Les deux hommes continuèrent à la défoncer, alors qu’ils continuent de se vider en elle.

Ils se retirèrent une fois qu’ils eurent complètement terminé, laissant Flavie secouée et haletante, dans l’attente des suivants. Matthieu attrapa Flavie par les hanches et la souleva jusqu’à la serviette étendue au sol. Il la fit s’allonger sur le dos, puis se positionna entre ses jambes. Sans ménagement, il la pénétra avec une brutalité presque animale, ses mouvements étaient frénétiques et incontrôlés. Chaque coup de reins arrachait des cris de plaisir à Flavie qui se mêlaient aux gémissements des hommes autour d’elle. 

Elle les devinait s’installaient en cercle autour d’elle tout en se branlant avec impatience. Elle se sentait comme une chienne prête à être exploitée sans pitié. Ses mains, maintenant libérées, se précipitèrent pour saisir les queues disponibles, ses doigts les parcourant avec une voracité insatiable. Chaque sexe était pris en main avec avidité, sa bouche se jetant sur eux pour les sucer, les lécher et les aspirer avec une énergie débridée. Matthieu, implacable, continuait de la pilonner avec brutalité, chaque coup de reins la poussant plus loin dans l’extase.

L’excitation des hommes atteignit son paroxysme, et ils commencèrent à jouir les uns après les autres. Des jets de sperme giclait abondamment dans ses mains, remplissaient sa bouche, ou s’écrasaient sur son corps. Leurs décharges abondantes éclaboussaient ses seins, dégoulinaient le long de ses bras, et se mélangeaient à la sueur et à la salive sur sa peau. Les couilles des hommes déversaient leur chargement sans retenue, les semences se mélangant les unes avec les autres pour former une mixture obscène qui collait à sa peau.

Matthieu continuait de la pilonner sans relâche, augmentant le rythme de ses coups de reins à mesure que les queues des inconnues se vidaient. Flavie savait que le plus grand plaisir de son homme était de la baiser alors qu’elle se faisait souiller. Il prenait un plaisir fou à la voir sucer des queues tout en se faisant arroser de foutre. Chaque jet de sperme, chaque éjaculation, était une source d’amour brut et de satisfaction pour lui. Il adorait voir sa muse complètement exploitée et ravagée, vidant couilles après couilles, tandis que le sperme éclaboussait son corps, se répandant sur ses seins ou se déversant dans sa bouche avant de dégouliner dans son cou. 

Flavie, perdue dans cette folie, se sentait comme enivrée, chaque éjaculation intensifiant son plaisir et sa soumission envers son homme. Elle adorait être utilisée ainsi, chaque moment de cette débauche la rapprochant de la folie douce et de l’extase absolue. 

Matthieu, haletant et en sueur, poussa un profond râle de plaisir en enfonçant ses doigts profondément dans ses hanches et explosa dans un orgasme dévastateur. Ses couilles se contractèrent brutalement alors qu’il se vidait en elle, projetant de puissants jets de foutre brûlants dans sa chatte. Flavie sentait son sexe pulser avec une intensité folle à chaque éjaculation, les vagues de sperme chaud inondant ses parois, la faisant frémir de plaisir. Elle adorait cette sensation obscène, sentir son homme inonder sa chatte de foutre brûlant, la remplir à ras bord. Chaque goutte de foutre la rendait plus avide, plus soumise, elle était complètement à sa merci, follement amoureuse de cet homme qui la possédait si brutalement.

Matthieu, implacable, reprit son rythme, son sexe enduit du mélange de leurs fluides se frayant un chemin en elle. Chaque poussée était empreinte de la chaleur de son propre foutre, et Flavie, totalement envoûtée, se délectait de cette sensation délicieusement perverse. Le plaisir de sentir son homme continuer à la défoncer après l’avoir rempli de foutre pendant que des inconnus continuaient de se vider sur son corps lui arracha de nouveaux cris de plaisir. 

Lorsque Matthieu, avec un grognement de satisfaction, se retira enfin, sa queue dégoulinant d’un mélange épais de sperme et de mouille. 

Impatient et avide, elle sentit un autre homme s’avancer pour prendre le relais. Sans perdre une seconde, il se mit à la baiser durement, ses coups de reins entraînant un nouvel enchaînement de plaisir sauvage. Chaque pénétration était accentuée par le foutre chaud de son homme qui imprégnait sa chatte. Ses muscles se tendaient et se contractaient autour de ce nouvel envahisseur, chaque mouvement amplifiant sa soumission et son excitation.

L’homme qui avait pris le relais explosa finalement en elle. Ses jets puissants de foutre giclaient dans sa chatte, chaque éjaculation déversant un torrent de liquide chaud et épais dans son sexe déjà saturé. Des filets de sperme coulaient le long de ses cuisses, mélangeant chaleur et viscosité, alors que son corps vibrait sous le choc des éjaculations. Elle adorait cette sensation brute, ce remplissage profond et intense.

Alors que l’homme se retirait, laissant derrière lui une chatte dégoulinante de foutre, les autres hommes se précipitaient pour prendre leur tour. Affamés, ils ne perdaient pas de temps et se relayaient pour se vider les couilles en elle. Les queues entraient et sortaient de sa chatte à un rythme effréné, chaque éjaculation ajoutant une nouvelle dose de sperme à son sexe déjà gorgé de foutre. Les hommes se succédaient avec une voracité insatiable, parfois, l’éjaculation se déversait dans son cul, chaque giclée de sperme remplissant et souillant ses orifices avec une brutalité démesurée. Le sperme des différents hommes se mélangeait dans son corps, dégoulinant le long de ses cuisses et imbibait la serviette sous elle.

La succession rapide des hommes continuait, leurs queues se retirant de ses trous pour laisser place à d’autres qui viendraient la défoncer encore plus fort. Flavie était constamment submergée par les décharges successives, chaque coup de reins et chaque jet de sperme intensifiant le plaisir brut qu’elle ressentait. La chatte et le cul remplis à ras bord de sperme, chaque giclée se mélangeant aux précédentes, et ces queues qui la prenaient à la chaine décuplaient son plaisir et son sentiment de soumission.

Alors que le bruit des éjaculations se calmait peu à peu, Flavie était complètement épuisée mais euphorique, son corps vibrant toujours sous l’effet de la débauche ininterrompue et la soumission totale qu’elle venait de subir.

Elle demeura quelques instants dans un état de flottement, comme détachée du monde réel. Le chaos obscène et la débauche perverse auxquels elle venait d’être soumise semblaient presque irréels, comme un rêve troublant dont elle n’aurait jamais voulu se réveiller. Elle se sentait véritablement elle-même avec son homme, elle pouvait explorer sans réserve et sans la moindre honte sa vraie nature de pute insatiable.

Avec lui, elle n’avait plus à cacher ses désirs les plus obscènes ou ses fantasmes les plus pervers. Chaque moment de cette orgie sauvage avait été une confirmation de sa véritable essence, une mise en lumière de son rôle d’esclave sexuelle, sans retenue ni jugement. Elle s’épanouissait pleinement dans ce rôle, trouvant une satisfaction profonde à se donner sans réserve, à être exploitée comme une chienne soumise.

Elle avait été traitée comme une pute, utilisée sans ménagement, et chaque moment de cette expérience débridée l’avait plongée dans un plaisir brut et dément. Les hommes l’avaient utilisée sans scrupule, et elle avait été emportée par une vague de sensations qui la dépassaient. Le souvenir de leurs queues s’enfonçant en elle, de leurs éjaculations se déversant dans ses orifices, était gravé dans sa mémoire comme une preuve de sa soumission totale.

Elle aimait cet homme, Matthieu, qui prenait un plaisir obscène à la transformer en chienne, à la pousser au-delà de ses limites. Chaque moment de cette débauche sauvage était devenu plus qu’un simple fantasme, c’était la démonstration explicite de l’amour non conventionnel qu’il lui portait sous une forme brutales et inavouée. 

Son esprit continuait de divaguer. Flavie se sentait plus vivante que jamais, entièrement connectée à lui, ressentant une satisfaction brutale à l’idée de s’abandonner complètement à ses désirs. Le fait d’avoir été ainsi exploitée, traitée comme une véritable esclave sexuelle, lui apportait une satisfaction aussi perverse qu’enivrante.

Elle acceptait avec bonheur sa place de chienne soumise, ayant réalisé son désir le plus profond de se donner entièrement à l’homme qu’elle aimait. Le souvenir de chaque instant, de chaque moment obscène et de débauche, tourait dans son esprit, comme une déclaration d’amour dans un monde où les frontières du plaisir avaient été repoussées au-delà de l’imaginable.

Allongée sur la serviette, Flavie reprenait doucement ses esprits. Sa chatte et son cul étaient toujours gorgés de sperme, chaque goutte dégoulinant lentement entre ses cuisses. Son corps était entièrement recouvert de foutre, un cocktail collant et chaud qui témoignait de l’intensité du moment qu’elle venait de vivre. Elle avait adoré chaque instant, se délectant d’avoir vidé toutes ces queues, savourant chaque goutte de sperme qui l’avait remplie. Elle se sentait pleinement épanouie et vivante, profitant de cette sensation brute et entière d’être complètement utilisée, d’être la chienne insatiable qui avait répondu au désir de son homme.

Les mains de son homme la tirèrent doucement de sa rêverie, la soutenant alors qu’elle se redressait. Elle sentait la chaleur rassurante de son corps près du sien, une présence qu’elle connaissait bien, qui la faisait se sentir en sécurité même dans la soumission la plus totale. Ses doigts se mirent à travailler avec précaution sur les attaches autour de son cou, desserrant les liens du sac qui avait occulté sa vision.

Le monde devint plus lumineux alors que Matthieu dégageait enfin son visage, et elle plissa les yeux, légèrement aveuglée par la lumière vive qui inondait la petite clairière. Autour d’eux, la nature était paisible, les feuilles des arbres murmurant sous la brise légère. Mais c’est le visage de son homme qui attira toute son attention. Son regard pénétrant la fixait avec une intensité qui la fit frissonner. Ce regard ne portait aucun jugement, uniquement rempli d’une admiration sincère pour sa véritable essence.

Elle se rendit compte qu’elle était nue, exposée sous le ciel bleu. Le foutre qui couvrait son corps scintillait sous les rayons du soleil, traçant des sillons luisants sur sa peau. Des gouttes perlaient de ses seins, coulaient le long de ses cuisses, se mêlant à la sueur de son corps fatigué mais comblé. Le sperme qui dégoulinait encore de sa chatte et de son cul témoignait de l’intensité de ce qu’elle venait de vivre.

En croisant le regard de Matthieu, un mélange de fierté et de soumission s’empara d’elle. Elle se sentait plus belle que jamais, comme une œuvre d’art obscène sculptée par ses désirs les plus pervers. Dans ce regard, elle trouvait l’acceptation de sa nature profonde, celle d’une chienne fidèle et dévouée. Ses lèvres esquissèrent un sourire, un sourire rempli d’amour et de dévotion, car elle savait que pour lui, elle était parfaite ainsi. Soumise, utilisée, mais plus vivante que jamais.

Il lui tendit une serviette humide tout en la regardant avec un sourire complice tandis qu’elle s’essuyait doucement, pour effacer les traces de leur débauche. Matthieu lui donna ensuite un maillot de bain noir, deux pièces, au design simple mais qui soulignait parfaitement ses courbes. 

Elle attrapa son sac avec les boissons qui trainait au sol, avant de prendre la main de Matthieu, et ils quittèrent la clairière en direction de la plage. À chaque pas, elle sentait le sperme dégouliner lentement entre ses cuisses, lubrifiant le fond de son maillot. Cette sensation, loin de l’embarrasser, l’excitait davantage. Elle savait que chaque goutte qui coulait témoignait de ce qu’ils avaient partagé. Les passants ne manquaient pas de jeter des regards sur elle, attirés par son allure provocante et les marques visibles de claques sur son cul.

Arrivés près du lac, ils posèrent leurs affaires à côté de leurs serviettes et se dirigèrent vers l’eau pour se rafraîchir. Flavie se frotta contre Matthieu sous la surface, savourant la sensation de son sexe dur contre son ventre. Avant qu’elle ne puisse réagir, Matthieu la bloqua contre lui, utilisant une main pour la maintenir fermement. De l’autre, il guida sa queue vers sa chatte, se délectant de la chaleur de son corps. Flavie se retrouva prise au piège, incapable de fuir alors qu’il la pénétrait discrètement dans l’eau. Les autres baigneurs semblaient disparaître autour d’eux, leur amour et leur complicité formant une bulle intime où ils se retrouvaient, renforçant leur intimité et leur sentiments. 

Ils restèrent enlacés dans l’eau, leurs corps se mouvant doucement sous la surface. Il la baisa pendant quelques minutes, savourant chaque instant de cette communion charnelle, avant d’exploser en elle. Un torrent de sperme jaillit de sa queue, les jets chauds se déversant profondément dans la chatte de Flavie. La chaleur de son foutre remplissait son intérieur, chaque pulsion ajoutant une nouvelle vague de plaisir.

Dans un geste tendre et plein d’affection, Matthieu déposa un baiser doux sur le cou de Flavie, la chaleur de ses lèvres contrastant agréablement avec la fraîcheur de l’eau. Matthieu enroula un bras autour de sa taille et l’attira doucement hors de l’eau, sa main se posant sur sa hanche avec une douceur protectrice.

Après s’être rafraîchis, ils retournèrent sur leur serviette, prêts à profiter du reste l’après-midi. Flavie s’allongea sur le ventre, la tête reposant sur ses bras croisés. Matthieu s’installa à côté d’elle, et sans un mot, commença à caresser distraitement son cul, ses doigts jouant avec les marques laissées par les fessées. Ses caresses étaient légères, presque méditatives, mais elles ravivaient en Flavie une excitation douce et persistante.

Chaque fois qu’un homme passait à proximité ou jetait un regard dans sa direction, elle se demandait intérieurement s’il faisait partie de ceux qui l’avaient baisée plus tôt. Les regards qu’elle recevait étaient empreints de curiosité ou d’envie, et elle ne pouvait s’empêcher de penser à la manière dont elle avait été utilisée. La perspective que ces regards pouvaient se souvenir d’elle en tant que chienne soumise et en proie à des plaisirs brutaux la fascinait et l’excitait. Ce voile de mystère et cette réflexion faisaient palpiter sa chatte d’envie.

Le regard de Flavie balayait la plage, s’attardant sur le groupe de jeunes qui jouaient toujours aux cartes. Elle trouva les deux filles plutôt mignonnes, les voyant embrasser leurs copains avant de partir en riant se jeter à l’eau. Elles venaient probablement de gagner une partie contre car elles levaient les bras en signe de victoire, affichant des sourires triomphants.

Quelques instants plus tard, Flavie observa les deux garçons se lever. Elle fut amusée de constater qu’ils semblaient tous les deux bien bander. Les jeunes hommes se dirigèrent également vers le lac. En passant près d’elle, ils s’arrêtèrent et lui tendirent un objet avec un large sourire. Flavie saisit le paquet avec curiosité et découvrit à sa grande surprise que c’était le string léopard qu’elle avait porté plus tôt.

Flavie observait avec surprise les deux jeunes qui s’éloignaient, leur démarche détendue et leurs visages illuminés alors qu’ils échangeaient des sourires amusés. Elle comprit rapidement qu’ils faisaient partie des membres du groupe qui l’avaient utilisée. 

Alors qu’ils s’éloignaient vers le lac, l’un des jeunes se tourna vers elle avec un sourire malicieux et lança : « On espère que nos copines seront un jour aussi salopes que toi. » Puis il ajouta d’un air complice : « Mais chut, c’est un secret, elles ne savent rien ! » Les deux jeunes éclatèrent de rire avant de se diriger vers l’eau.

Flavie, encore sous l’effet de la surprise, son esprit cherchant à assimiler ce qui venait de se passer. Le regard amusé de Matthieu capta son attention, et elle lui tendit le string, interrogative. « On dirait bien que tu as fait une forte impression, » lança-t-il en récupérant le string léopard avec une lueur complice dans les yeux.

Flavie, encore sous le choc mais excitée, répondit avec une lueur de malice dans les yeux : « On dirait bien qu’ils n’oublieront pas ta petite chienne de sitôt. » Sa voix trahissait à la fois la confusion et un plaisir pervers.

Matthieu lui sourit, l’attirant vers lui avec tendresse. « Et tu seras toujours ma chienne préférée, » murmura-t-il contre ses lèvres, son regard brillant de désir.

Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser brûlant et passionné. Flavie se sentit étrangement amusée par la situation. Elle ressentit une chaleur intérieure, une satisfaction perverse à savoir que cette expérience avait marqué les esprits tout en restant un secret. Elle se demanda combien d’autres hommes avaient participé à cette orgie. Elle ne doutait pas que son homme ne tarderait pas à lui montrer les images qui révéleraient toute l’ampleur de cette scène débridée.

Son homme, avec un sourire mystérieux, la regarda et comprit ses interrogations silencieuses. « Tu n’as encore rien vu, » lui dit-il avec une lueur de malice dans les yeux. Flavie frissonna à l’idée des possibilités infinies qui s’offraient à eux. Chaque moment de leur séjour semblait promettre des découvertes encore plus audacieuses et des plaisirs plus intenses. Elle se laissa aller à ses pensées, imaginant les scénarios les plus osés et les plus pervers, se demandant quels nouveaux plaisirs l’attendaient et comment elle allait être amenée à se soumettre encore plus profondément à ses désirs.

Elle était prête à se laisser emporter par chaque nouvelle aventure qu’il lui réservait, et l’idée d’être utilisée comme une chienne pour satisfaire ses envies perverses la remplissait d’une impatience brûlante.